Les Bans (3669 m)
Le plus haut sommet de la vallée du Valgaudemar, Les Bans est un géant imposant offrant des vues spectaculaires sur le parc. Ses parois abruptes et ses arêtes effilées en font un défi pour les alpinistes chevronnés. Voici les principales courses liées à ce sommet :
- Voie Normale des Bans (PD+) : Cette route est une excursion d’alpinisme classique qui implique un parcours sérieux sur glacier (avec encordement), une traversée sur une arête effilée, suivie d’une escalade rocheuse jusqu’au sommet aérien. Le point de départ est le refuge de la Pilatte, accessible depuis La Bérarde après environ 4 heures de marche.
- Couloir Nord des Bans (D sup avec bonnes conditions) : Cette route présente une ascension mixte dans l’un des couloirs les plus esthétiques du massif des Écrins. Le départ se fait également du refuge de la Pilatte.
- Pilier Nord-Est des Bans (AD – D) : Cette route varie entre AD et D en fonction de l’itinéraire choisi. Elle débute au refuge de la Pilatte et mène au sommet sud des Bans.
- Sommet Nord-Ouest des Bans (AD) : Cette route longue mais intéressante commence au Chalet Hôtel du Gioberney et mène au sommet nord-ouest des Bans.
- Face Sud-Est des Bans (TD sup) : Cette ascension démarre du refuge des Bans et présente des défis techniques importants.
- Versant Sud-Est des Bans, Route Picard (D) : Également au départ du refuge des Bans, cette route offre une escalade mixte sur des roches de difficulté III, IV, IV sup.
- Versant Sud-Est des Bans, 2ème route (D sup) : Cette ascension, partant du refuge des Bans, propose une escalade technique de niveau IV et V.
Le Sirac (3441 m)
Avec ses formes distinctives et ses falaises vertigineuses, le Sirac est l’un des sommets les plus reconnaissables du Valgaudemar. Il attire les grimpeurs recherchant des itinéraires techniques.
Voie Normale par le Glacier de Vallonpierre : C’est l’itinéraire le plus classique pour atteindre le sommet du Sirac. Il nécessite de bonnes compétences en alpinisme et l’utilisation de corde fixe dans certaines sections. Cette voie offre une ascension variée avec des passages de glacier, de roche et de neige.
Durée : L’ascension dure généralement 2 jours, avec une montée au refuge de Vallonpierre le premier jour, suivi de l’ascension au sommet le second jour.
Difficulté : La course est classée comme Peu difficile Supérieur (PD+). La dernière partie de la montée comprend de l’escalade facile mais longue.
Itinéraire : Après avoir passé la nuit au refuge de Vallonpierre, l’ascension commence tôt le matin. La première partie de l’itinéraire est relativement facile, suivie d’une section sur le glacier de Vallonpierre avec des pentes atteignant 35°. La suite de l’ascension comprend une remontée sur corde fixe, puis un parcours astucieux sur des vires pour atteindre l’arête sud menant au sommet.
Descente : La descente se fait généralement par le même itinéraire.
Période recommandée : L’ascension est préférable de début juin à fin septembre.
Autres voies sur le Sirac
Couloir Intégral : Cette variante de la voie normale est plus technique et comprend des passages d’escalade en roche et en mixte. Elle traverse à gauche du deuxième relais, longeant les dalles avant de rejoindre le couloir.
Arête Sud : Une autre option pour atteindre le sommet est de suivre l’arête sud, qui est plus technique et offre une escalade sur rocher de qualité variable. Cette voie nécessite une approche prudente et une bonne évaluation des conditions rocheuses.
Voie Reynier : Un itinéraire plus sauvage qui emprunte le glacier des Bans et le névé ovale avant d’aborder des passages rocheux.
Les Rouies (3589 m)
Les Rouies offrent une vue panoramique sur les Écrins et sont souvent considérées comme une introduction parfaite à l’alpinisme de haute montagne. Ce sommet est idéal pour s’initier à l’alpinisme.
Voie Normale par le Refuge du Pigeonnier :
Cet itinéraire commence au Chalet-Hôtel du Gioberney, avec un dénivelé positif de 852 mètres jusqu’au refuge. La montée est relativement douce au début, avec des pentes de neige plus prononcées à mesure que l’on s’approche du sommet.
La dernière pente avant le sommet peut être plus raide, avec une inclinaison de 35 à 40 degrés.
La descente suit généralement le même itinéraire, en privilégiant la descente en neige.
Itinéraire par la Bérarde :
Départ de l’altitude de 1710 mètres et arrivée à 3589 mètres.
Cet itinéraire passe par le refuge du Carrelet, le vallon du Chardon, puis le glacier du Chardon avant de rejoindre le glacier des Rouies.
Le parcours présente des plats longs entrecoupés de passages montants, avec une pente finale plus raide.
Il est recommandé de partir tôt le matin, surtout au printemps, en raison de l’orientation principalement nord-est et est des itinéraires.
L’Olan (3564 m)
Ce sommet majestueux se distingue par ses arêtes aériennes et ses voies d’escalade variées, offrant des défis pour les alpinistes de tous niveaux.
Traversée Arête Nord – Voie Escarra :
Elle est une longue traversée alpine, comparable en ampleur et durée à des itinéraires majeurs comme la traversée de la Meije. Elle combine la voie Escarra avec une approche et une descente étendues, offrant une expérience alpine complète et variée.
La cotation est PD, 3c.
Temps estimé : 5 à 6 heures de montée depuis le refuge de Font Turbat, 4 à 5 heures de descente jusqu’au refuge de l’Olan.
Matériel nécessaire : coinceurs, corde de 50 m pour rappel.
Voie Escarra
Cette voie comprend l’ascension par la brèche Escarra, suivie de l’arête Est avec des passages aériens de niveau III et IV.
La vue depuis le sommet est spectaculaire, dominant la Chapelle-en-Valgaudemar et les alentours.
La descente s’effectue par le même itinéraire, avec des rappels nécessaires.
Montée par l’Arête Nord :
L’approche se fait par le col Turbat, avec une montée au refuge de l’Olan.
La montée par l’arête Nord est un itinéraire direct et évident, offrant des vues époustouflantes sur le massif des Écrins.
La descente se fait par la voie Escarra, incluant un rappel de 25m et une désescalade sur l’arête.
Ces itinéraires présentent une aventure alpine à part entière, combinant de l’escalade technique, des traversées aériennes et de longues ascensions.
Le Pic des Aupillous (3505 m)
Situé entre Les Bans et le Pic Jocelme, voici les principaux itinéraires :
Couloir NNW de Chauvetane :
Cet itinéraire est une ascension technique, principalement en terrain de neige et de glace.
L’approche débute au Chalet du Gioberney, remontant vers la cabane du Gioberney, puis suit le fond du vallon tournant vers l’Est.
Le parcours comprend des pentes de neige inclinées et des passages en rocher.
Variante de la Voie Normale :
Cette variante offre un parcours alternatif à l’itinéraire classique.
Elle implique également une approche depuis le Chalet du Gioberney, mais peut comprendre des variantes dans le choix des pentes et des passages en rocher.
Le Pic Jocelme (3458 m)
Moins fréquenté que d’autres sommets, le Pic Jocelme offre une expérience de montagne plus isolée. Sa montée mélange randonnée alpine et escalade modérée. La vue depuis le sommet est remarquable, offrant un panorama étendu sur les montagnes environnantes.
Voie Normale (Versant Sud) :
Approche : L’itinéraire commence par une montée au Refuge de Chabournéou, suivi d’une progression vers l’Est, passant par des pentes herbeuses et des zones caillouteuses, pour finalement atteindre le Glacier de Surette.
Ascension : Après avoir dépassé un gros rocher caractéristique, l’itinéraire bifurque vers le Glacier du Jocelme, des pentes relativement douces sur le glacier du Jocelme avec une pente maximale de 30°. Cependant, l’accès au glacier implique la montée d’un couloir d’environ 100m de dénivelé avec une inclinaison atteignant presque 40°. Il est recommandé de gravir ce couloir quand il est enneigé et en bonnes conditions, car les rochers peuvent devenir instables et glissants lorsque le couloir est sec, augmentant le risque de chutes de pierres. L’itinéraire se poursuit sur le glacier en visant l’arête sud-est du sommet, avant de rejoindre le sommet du Pic Jocelme.
Descente : Le retour se fait par le même itinéraire.
Le Pic Bonvoisin (3481 m)
Situé proche du Pix Jocelme, en voici les principales voies :
Arête Sud :
Il s’agit d’un itinéraire d’alpinisme classique qui suit l’arête sud du Pic Bonvoisin et offre un bon équilibre entre escalade et randonnée glaciaire.
Cette voie est connue pour offrir une ascension variée avec des sections de rocher et de mixte. La cotation est AD- avec des passages de 3c.
L’itinéraire se déroule sur deux jours, en commençant au refuge de Chabournéou ou au Chalet du Gioberney.
Elle nécessite une bonne expérience en escalade et une préparation adéquate.
Éperon Nord-Nord-Est :
Cet itinéraire représente une ascension plus technique et engageante.
Il implique probablement de l’escalade sur rocher et des passages mixtes. La cotation est AD+ avec des passages de 4c.
Comme pour l’arête sud, une bonne expérience en alpinisme est requise.
Tour Antihoraire :
Ce parcours offre une expérience de randonnée alpine complète, en combinant plusieurs voies et cols autour du Pic de Bonvoisin.
L’itinéraire inclut des passages par le Pas des Aupillous et le Col du Loup de Valgaudemar, ainsi que des étapes aux différents refuges de la région.
Le Gioberney (3352 m)
Situé à l’extrémité de la vallée, ce sommet est populaire parmi les alpinistes pour ses itinéraires variés et ses paysages à couper le souffle.
Arête Nord-Est :
Départ : Refuge de la Pilatte.
Itinéraire : L’ascension débute au-dessus du refuge, suivant des marques rouges et des cairns sur un terrain granitique. Elle continue dans des pierriers ou des pentes de neige jusqu’à une combe enneigée, suivie d’un passage sur des blocs rocheux. La dernière partie de l’ascension comprend une dalle en bon rocher, offrant une escalade de niveau III à IV.
Vue : Au sommet, on bénéficie d’une vue sur les Rouies, la vallée du Valgaudemar, la pointe du Vallon, le Sirac, le Jocelme, les Bans, et d’autres sommets du Massif.
Descente : Elle s’effectue par le col du Gioberney, en longeant les contreforts du Gioberney et en évitant de descendre sur le glacier de la Pilatte.
Par le Col et l’Arête Sud :
Départ : La Bérarde.
Itinéraire : L’itinéraire passe par le refuge de la Pilatte, suivi d’une montée derrière le refuge sur des éboulis et des vires herbeuses. L’ascension continue sur des névés pouvant être assez pentus, avant de prendre pied sur le glacier vers 3000 m. Le col est atteint à 3238 m, et la vue plongeante sur le Valgaudemar est saisissante. L’ascension se poursuit par l’arête sud, qui reste une ascension facile malgré quelques passages exposés.
Vue : Au sommet, on peut admirer les Rouies, la face sud des Écrins, les Bans, la Pilatte, le Valgaudemar, le Sirac, et d’autres sommets.
Ces itinéraires offrent une expérience variée allant de terrains granitiques à des pentes de neige et des parties en rocher.
Le Pic Turbat (3028 m)
Accessible aux randonneurs expérimentés, ce sommet offre des itinéraires avec des vues magnifiques sur la vallée et les sommets environnants.
Voie Normale depuis La Chapelle-en-Valgaudemar :
Cet itinéraire est l’un des plus fréquentés pour atteindre le Pic Turbat. Il débute par une montée au refuge de l’Olan, suivi d’une progression vers le Pic Turbat.
L’itinéraire nécessite une bonne condition physique, avec des passages qui peuvent être techniques selon les conditions.
Pour plus de détails sur cet itinéraire, il est recommandé de consulter Camptocamp.
Ascension par le Refuge et le Pas de l’Olan :
Cet itinéraire commence au refuge de l’Olan, suivi d’une montée vers le Pas de l’Olan.
Après avoir redescendu un peu, on rejoint le Col de Colombes, qui est le point de départ de l’ascension du Pic Turbat.
La pente s’adoucit vers 2700 m après avoir gravi un petit ressaut. Le sommet est un peu étroit et nécessite de l’assurance dans les derniers mètres.
Ces itinéraires offrent une expérience enrichissante avec une vue panoramique spectaculaire depuis le sommet. La prudence est de mise, notamment sur les passages aériens et techniques.
La Cime du Vallon (3406 m)
Cette ascension est classée en alpinisme de difficulté F (Facile), bien que le terrain soit devenu plus instable ces dernières décennies. L’itinéraire commence au refuge de l’Olan, nécessitant une montée de 1300 mètres de dénivelé. L’ascension implique de traverser un reste de glacier et de gravir plusieurs ressauts faciles mais exposés. La descente se fait par le même itinéraire, avec une pause recommandée au refuge de l’Olan.
Le Pic des Souffles (3098)
Versant Sud – Sommet Central :
Cet itinéraire débute après la traversée du ravin des Bancs, où il faut quitter le sentier principal et monter par des pentes herbeuses puis des éboulis.
L’itinéraire continue vers trois terrasses étagées (les 3 Bancs) dans la face sud du Pic des Souffles.
À environ 2600 mètres, il y a un passage clé autour d’un triangle rocheux.
Sommet Central – Pic des Souffles :
Ce point de vue offre un aperçu général de la montagne et de ses caractéristiques.
Cependant, les détails spécifiques de l’itinéraire ne sont pas clairement décrits dans les sources accessibles.
Le Grun de Saint Maurice (2775 m)
Versant Sud-Ouest :
L’itinéraire commence par le remontage du couloir en rive gauche, qui devient progressivement plus minéral et nécessite souvent de “mettre les mains”.
À environ 2/3 du couloir, il faut traverser vers la gauche et escalader un ressaut rocheux de 5/6 mètres de haut (cotation II), suivi par des gradins plus faciles jusqu’à l’antécime (2730m).
La traversée de l’antécime vers la gauche mène à une brèche, d’où il faut escalader un autre ressaut rocheux, haut d’une dizaine de mètres, pour atteindre le sommet.
La descente s’effectue par la combe de Prentiq, avec un retour au col du Grun, puis suivre le sentier de découverte jusqu’à la maison forestière des Vachers
Par la Combe de Prentiq :
Le col du Grun, également appelé col de Prentiq, est le point de départ de cette ascension.
Après avoir remonté la combe, on trouve un balisage rouge au col.
L’ascension finale implique également l’escalade de ressauts rocheux et une progression aérienne jusqu’au sommet.
Le retour s’effectue par le même itinéraire.
L’Aiguille de Morges (2986 m)
Idéale pour les randonneurs expérimentés. Voici un aperçu des itinéraires principaux pour atteindre ce sommet :
Ascension depuis le Refuge de Vallonpierre :
Cette route commence par une montée au refuge de Vallonpierre. Le sentier passe par de nombreux lacets dans le vallon des Vernets, offrant des vues impressionnantes sur le grand cirque entre le Pic Jocelme et le Sirac.
De Vallonpierre, l’itinéraire se dirige vers l’ouest, remontant le vallon de Vallonpierre. Le terrain varie entre des banquettes herbeuses et des passages rocheux.
En approchant du sommet, l’ascension devient plus technique avec des gradins rocheux et une arête plus redressée.
Ascension par un itinéraire alternatif :
Un autre chemin commence également à Vallonpierre, avec une approche similaire. Cependant, il peut y avoir des variations dans le choix des pentes et des passages rocheux, en fonction des conditions et des préférences des randonneurs.
Cette route offre également une expérience alpine authentique, traversant des terrains variés et offrant des vues spectaculaires.
Ces ascensions sont recommandées pour des randonneurs ayant une bonne expérience de la montagne, car elles impliquent des terrains parfois techniques et exposés.
Pic des Parières (3076 m)
L’ascension du Pic de Parières est une randonnée difficile, avec un dénivelé total de 1726 mètres et une durée estimée à 9 heures. Le parcours commence par une longue ascension vers les lacs de Crupillouse, suivie d’une montée plus technique et aérienne jusqu’au sommet du Pic de Parières. L’itinéraire inclut une arête rocheuse raide et délitée, nécessitant une attention particulière. Cette randonnée offre des vues impressionnantes sur le Massif des Ecrins et les lacs environnants.
Le Pic de Mal Cros (3117 m)
Le Pic de Mal Cros offre plusieurs itinéraires d’alpinisme et de randonnée.
Versant Ouest :
L’ascension débute par la remontée du canal de Mal Cros. Un tunnel sur le parcours peut être contourné ou traversé (une lampe frontale est utile).
Après le tunnel, l’itinéraire continue à travers des éboulis vers un pierrier final sous le Pic de Mal Cros.
L’ascension du bastion nécessite de tester les prises car elle est exposée aux chutes de pierres. La traversée d’environ 6 à 7 mètres est particulièrement exposée et demande de la prudence.
Le sommet est atteint après cette difficulté.
La descente se fait par le même itinéraire, et un rappel est probablement impossible à poser.
Antécime 3092 m Face Sud
Cet itinéraire part de Chaillol 1600 et suit initialement la voie normale du Vieux Chaillol jusqu’à la cabane des Parisiens.
Ensuite, il traverse le col et se dirige vers le nord dans le cirque de Mal Cros, en direction de l’antécime du Pic de Mal Cros, située à gauche du pic principal.
La pente devient de plus en plus raide, nécessitant l’utilisation de crampons.
Le matériel recommandé inclut des couteaux, crampons et un piolet.
Tête Ouest de Mal Cros depuis les Fermonds :
Cet itinéraire part du grand parking (1290m) et suit un sentier bien marqué jusqu’au refuge du Tourond.
Après le refuge, le sentier s’escarpe vers la résurgence et le lac de Mal Cros.
Le parcours se dirige ensuite vers la Tête de Mal Cros, impliquant une ascension dans un pierrier en direction du Col de Navette.
La descente suit le même itinéraire.
Ces itinéraires offrent une expérience d’alpinisme variée, allant de la randonnée alpine à des passages techniques d’escalade.
Le Ban du Peyron (2777 m)
L’ascension du Ban du Peyron, également connu sous le nom de Petit Chaillol, est une randonnée remarquable du Valgaudemar. Cette randonnée, réalisée par des passionnés, est décrite comme étant sauvage et exigeante, avec un dénivelé important et des passages hors sentier. Elle est moins fréquentée que d’autres itinéraires et offre une expérience plus isolée et naturelle. La randonnée nécessite une bonne préparation et une certaine expérience en montagne, en particulier pour naviguer dans les sections hors sentier et sur les arêtes.
La randonnée démarre par une section technique, étroite et raide. Après, il y a un passage hors sentier dans le vallon de Palluel, où il faut bien s’orienter entre des barres rocheuses et la végétation. L’approche du sommet inclut une arête plus longue et non balisée, avec quelques passages qui peuvent s’avérer techniques. Le dénivelé est important, environ 1700 mètres.